Massacre à la disqueuse : Disc Room menace la galaxie en 2020

Massacre à la disqueuse : Disc Room menace la galaxie en 2020

Le chien fou de l’industrie Devolver Digital s’entoure des développeurs aiguisés Jan Willem Nijman et Kitty Calis (Minit), Terri Vellmann et Doseone (HIGH HELL) pour dévoiler Disc Room, une expédition pleine de panache dans les profondeurs insondables d’un piège extraterrestre mortel prévue pour 2020.

An 2089. Un disque géant est apparu, en orbite de Jupiter. Une équipe de scientifiques internationaux est immédiatement formée, et dépêchée sur place pour tenter d’en percer les mystères.

Plongez au cœur de l’espace intersidéral dans les espadrilles galactiques d’un chercheur courageux mais pas vraiment téméraire, déterminé à explorer cet abattoir spatial tentaculaire. Pour parvenir à en décrypter le fonctionnement, il faudra en affronter les dangers, comme ces énormes scies aliens qui le pourchassent sans relâche dans une suite ininterrompue de salles meurtrières à l’ordonnancement improbable. Vigilance maximale et réflexes aiguisés sont indispensables pour naviguer dans ce labyrinthe mortel ; l’apparence simpliste de ce massacre en règle cache une complexité particulièrement déroutante.

Ce qui vous tue vous rend plus fort.

Absorbez les compétences extraordinaires de ces fameux disques qui cherchent à vous mettre en pièces : une esquive invincible, la possibilité de manipuler le temps, de se cloner pour ne faire qu’un avec le disque… La punition est permanente, et se transforme peu à peu en compétences de survie acérées à mesure que notre scientifique s’enfonce en profondeur dans la volonté propre et sombre du disque.

Dans Disc Room, la seule manière de s’échapper est la mort.

« Je ne comprends absolument rien à tout ce bordel » déclare le Président de Devolver Digital, Fork Parker.

Disc Room fera ses grands débuts jouables lors de la PAX East, du 27 février au 1er mars.

Affûtez vos sens sur www.discroom.com, et suivez les traces des aliens sur Twitter @kittycalis, @jwaaaap, @doseonetweets et @terrivellmann pour un peu de rêverie numérique en 240 caractères.